artistes

Damien Bachmann est né à Genève, au sein d’une famille de musiciens. Lauréat de plus de vingt concours nationaux et internationaux, il s’est produit sur les plus grandes scènes d’Europe et d’Asie.

Ses prestations et son jeu sont régulièrement salués par la presse, qui le décrit comme « un musicien ayant atteint une grâce, une aisance et une liberté prodigieuses » (24 Heures, 2017), comme un clarinettiste « phénoménal, en termes d’expressivité et de virtuosité » (Cronica Muzicala, 2020) et doté d’« un jeu envoûtant » (Pizzicato, 2023).

Parmi ses partenaires de musique de chambre figurent, entre autres, les violonistes Janine Jansen et Gilles Apap, le Quatuor Ébène, ainsi que les pianistes Louis Schwizgebel et Béatrice Berrut. Il entretient une collaboration de longue date avec le casalQuartett, poursuivie au sein de l’ensemble CHAARTS, où il est clarinettiste solo. Grâce à sa polyvalence stylistique, il est un soliste recherché, notamment pour des œuvres dans des styles variés. En juillet dernier, il a joué le Concerto pour clarinette d’Artie Shaw au Paléo Festival de Nyon devant plus de 15 000 spectateurs.

Enseignant à la Musik-Akademie Basel, il transmet sa passion à travers des masterclasses en Europe et en Chine, et est régulièrement sollicité comme membre de jury pour des concours internationaux.

En 2010, Damien Bachmann fonde le festival Puplinge Classique, qu’il dirige pendant douze ans. En 2021, il crée avec ses frères les Schubertiades de Thônex, un nouveau rendez-vous incontournable pour les mélomanes genevois.

Damien Bachmann est artiste officiel Buffet Crampon et joue sur des modèles Tosca ou Prestige.

Wiktoria Czyżewska est née en 1997 à Varsovie, où elle a commencé sa formation musicale. Elle a obtenu son bachelor à l'Académie de musique Karol Szymanowski. Elle est actuellement étudiante chez le professeur Božo Paradžik à Lucerne. De 2021 à 2023, elle a travaillé comme académicienne à l'orchestre de l'Opéra de Zurich. 

Elle a eu l'occasion de se perfectionner auprès de musiciens de renom et est lauréate de concours internationaux tels que le Concours international Michal-Spisak de Dabrowa Gornicza et le Concours international Anton Rubinstein de Düsseldorf. Elle s'est produite en tant que soliste et musicienne de chambre en Pologne, en Allemagne et en Suisse. 

En orchestre, elle a joué dans des ensembles tels que Philharmonia Zürich, Sinfonia Varsovia, Baltic Sea Philharmonic, Beethoven Academy Orchestra, TONALi et La Scintilla. 

Wiktoria a reçu de nombreuses bourses polonaises et suisses, dont la prestigieuse bourse fédérale d'excellence du gouvernement suisse.

Sarah Loerkens est née à Lausanne dans une famille de musiciens.

Elle commence ses études de violon au Conservatoire de Musique de Neuchâtel dans la classe de sa mère Anne Bauer, puis les poursuit à l’Academie de Musique de Bâles dans la classe de Thomas Fueri.

En 1997 elle décide de se perfectionner au Conservatoire Sweelinck d’Amsterdam dans la classe de Valentin Zhuk.

Depuis 2005 elle est deuxième chef d’attaque des deuxièmes violon de l’Orchestre Philharmonique de la Radio Hollandaise. Elle joue régulièrement en formation de musique de chambre au Pays-Bas, ainsi qu’au Brésil, en France et en Italie.

Sarah Loerkens joue un violon Joseph Gagliano fait en 1773.

Egidius Streiff, âgé d'une bonne cinquantaine d'années, revient à ses débuts : Schumann et les oeuvres hautement expressives l'enthousiasment aujourd'hui comme il y a trente ans, avec passion. C'est ainsi qu'il a donné à l'époque la première suisse de la version originale pour violon du concerto pour violoncelle de Schumann. Plus tard, il a été attiré par des œuvres encore plus extraverties comme le concerto pour violon de Bernd Alois Zimmermann, la Fantaisie op.47 d'Arnold Schönberg ou la sonate pour violon seul de Bartok - bien sûr dans sa version originale, que l'on peut entendre sur son premier enregistrement « Papa Bach » (il a reçu à l'époque la distinction maximale pour le jeu et le son – rien que le titre a fait sourire).

Comme d'autres musiciens de sa génération, il ne s'est pas contenté de penser en termes de musique, mais a cherché à apporter une plus-value à la société, peu d'entre eux ayant eu autant de succès au niveau international, notamment en Asie : la Chuluun Foundation, qu'il a créée avec le pianiste mongol Sharavtseren Tserenjigmid, visait à favoriser les échanges culturels en Asie centrale à l'époque où l'Union soviétique s'effritait. « L'idée n'était pas révolutionnaire, mais elle allait à l'encontre de la tendance à rompre les anciennes amitiés sans les remplacer ; nous voulions au contraire maintenir ces amitiés en vie en leur donnant un nouveau contenu » *(Streiff en conversation avec Alessandro Tardino).

De nombreuses tournées en Asie (Japon, Corée du Sud et surtout Chine) mènent au succès - ou parfois à l'échec : à l'occasion d'une tournée de concerts scandaleusement annulée avec le concerto pour violon de Wang Xi-Lin (Streiff est déjà sur place et est accueilli par les mots : « Who are you, the orchestra is on holiday ! »), Egidius Streiff rencontre l'ambassadeur suisse à Pékin. A cette occasion, il esquisse l'idée d'une rencontre culturelle entre des musiciens de Corée du Nord (RPDC) et de Corée du Sud en Suisse, à travers la musique d’ Isang Yun, compositeur coréen très vénéré dans les deux pays. « Il était évident pour moi qu'il fallait parler de choses que les deux parties aimaient. Malheureusement, nous étions constamment freinés par des tensions politiques réelles ». Les efforts persistants de Streiff, soutenus par le DFAE et sous le patronage de la conseillère fédérale Micheline Calmy-Rey, ont tout de même abouti à deux projets : en 2005, Streiff a joué - sans doute pour la première fois - le concerto pour violon d'Othmar Schoeck à Pyongyang avec l'orchestre Isang Yun. Il noue alors des contacts avec des musiciens coréens et en 2008, l'ensemble de chambre Isang Yun se rend en Suisse et élabore pour la première fois un programme commun de musique contemporaine avec des musiciens suisses. Dix ans plus tard, Streiff rêve toujours de poursuivre ce travail de pionnier. « Le temps n'est jamais mûr, pour n'importe quel projet. Ce sont les gens qui les rendent possibles ».

Les projets de Streiff sont toujours fondés sur une nécessité intérieure : « Lorsque j'ai appris qu' Adolf Busch - l'un des plus grands violonistes de l'entre-deux-guerres et en même temps une boussole morale dans une Allemagne contaminée par le nazisme - vivait à Riehen près de Bâle, je me suis mis à la recherche de ses traces. L'écart entre l'oubli officiel du « pollueur » Busch et les meilleurs souvenirs personnels de l'artiste au « à la conscience droite » m'ont vite fait comprendre que nous devions nous souvenir de lui et de son art. Dans quel meilleur endroit qu'à son ancien domicile de Riehen ». Depuis, différents projets d'expositions et de concerts ont vu le jour à Riehen sous l'égide de Streiff.

La création du label CD « streiffzug.com » est également le fruit d'un hasard : en cherchant les bandes magnétiques de la création des concertos pour violon de Béla Bartok et Frank Martin, on s'aperçoit qu'elles n'existent plus à Bâle. Seule une demande urgente dans toutes les archives de la radio suisse SRF a permis de mettre à jour une dernière (!) copie dans les archives tessinoises. Ne parvenant pas à trouver un label intéressé, Streiff fonde immédiatement le sien. Depuis, il y publie des trouvailles, mais aussi ses propres travaux.

De plus en plus, l'intérêt de Streiff pour le son pur fait son retour. « J'ai toujours été fou du son. Je ne comprends pas comment, en tant que musicien absolu, j'ai pu me persuader que je pouvais apporter une « valeur ajoutée à la société ». Aujourd'hui, la chose la plus banale - le son pur - est la plus importante pour moi. Faire de la musique, jouer du violon. Est-ce l'âge qui parle maintenant ? »

Ce faisant, il devient de plus en plus audible que la recherche d'expression de Streiff produit une qualité unique : « J'ai appris à parler avec P. Adalbert Züllig à la Stiftschule Einsiedeln, j'ai appris à chanter avec György Kurtàg, j'ai appris à jouer du violon avec Hansheinz Schneeberger ». Aujourd'hui, ses interprétations expressives suscitent l'enthousiasme en concert comme dans les enregistrements : Ses derniers travaux de soliste sont documentés sur CD avec des œuvres de Viktor Kalabis (streiffzug SC1702, 2019), un enregistrement de la sonate op.72 (« AFFE SCHAF ») de Max Reger dans le cadre du DVD primé « Maximum Reger » (BBC "DVD of the year 2018"), ainsi que la création posthume et le premier enregistrement de la sonate pour violon d'Isang Yun (capriccio C5364, 2019).

« Musicien passionné et personnalité aux facettes multiples, Henri Demarquette joue du violoncelle comme on embrase une forêt profonde ; pas un de ses coups d’archet ne laisse indifférent car il réveille l’inconscient de la musique » O. Bellamy (Le Monde de la Musique)

Henri Demarquette, né en 1970, entre à 13 ans au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, où il étudie avec Philippe Muller et Maurice Gendron. Titulaire d’un Premier Prix à l’unanimité, il travaille également avec Pierre Fournier et Paul Tortelier, puis, avec Janos Starker à Bloomington aux Etats-Unis.
Sa carrière prend un essor international qui le conduit dans de nombreuses capitales accompagné des plus grands orchestres français ou étrangers ou en compagnie de ses partenaires pianistes privilégiés : Boris Berezovsky, Michel Dalberto, Jean-Bernard Pommier, Fabrizio Chiovetta, Jean-Frédéric Neuburger.

Henri Demarquette est l’initiateur de Vocello, une formation originale pour violoncelle et chœur a capella avec l’Ensemble Vocal Sequenza 9.3. Ce programme réunit des œuvres de la Renaissance en regard aux musiques contemporaines. Depuis 2012, de nombreuses œuvres nouvelles ont été composées pour cette formation. Courant 2016, Vocello a été en résidence au Collège des Bernardins.

Depuis 2012, il est invité plusieurs fois par Michel Onfray à intervenir dans le cadre de l’Université Populaire de Caen. En compagnie de Jean-Yves Clément, essayiste, poète, musicien, il évoque divers aspects de la musique sous forme de causeries-conférences.
Cette ouverture d’esprit se reflète dans une discographie éclectique, couronnée de nombreuses distinctions en France et à l’étranger.

Henri Demarquette a reçu de l’académie des Beaux-Arts le Prix de la Fondation Simone et Cino del Duca. Il enseigne actuellement à l’École Normale de musique Cortot de Paris.
Il joue un violoncelle de Goffredo Cappa de 1700.

Donatien Bachmann se produit régulièrement en soliste avec divers ensembles, dont l'Orchestre de Chambre de Genève, le Hamburger Harvestehuder Sinfonieorchester, l'Ernen Festival Orchestra ainsi que le Kammerorchester Basel.

Souvent appelé à créer en musique de chambre et en orchestre, Donatien échange musicalement avec de nombreux talents de différentes générations. 

En tant que chambriste il joue aux côtés de Janine Jansen, Thimothy Ridout, Béatrice Berrut, Matthew Hunt et Dmitry Smirnov, et en orchestre sous la direction de chefs de renom tels que Daniel Harding, Heinz Holliger, James Gaffigan, Alondra de la Para ou Charles Of the toit.

Bassoniste du Verbier Festival Junior Orchestra pendant trois ans, il a également été membre fondateur du Basilea Wind Quintet en 2018, un ensemble à vent composé de jeunes musiciens prometteurs de la Hochschule für Musik de Bâle et primé au Concours Orpheus en 2019.

Quintuple lauréat du Concours Suisse de Musique pour les Jeunes, ce qui lui a valu d'intégrer la Fondation Ruth et Ernst Burkhalter en 2014, Donatien s'est également vu décerner un 2e Prix (1er non attribué) au CNEM de Riddes en 2018 ainsi qu'un 3e prix. au 8ème Concours International de Basson Giaocchino Rossini.

Musicien curieux, turbulent et créatif, il décrit la musique comme solitaire, partagée, transmissive, non élitiste, infinie et unique, ... mais avant tout curative, comme le dit si bien Albert Schweizer : « Il y a deux manières d'oublier les soucis de la vie : la musique et les chats ».

Donatien Bachmann est soutenu par la Fondation Friedl Wald, la Fondation Kiefer-Hablitzel et le Pour-cent culturel Migros.

Mariana Doughty est alto solo de l'Orchestre de chambre de Bâle depuis vingt ans et enseigne à l'Académie de musique de Bâle.  Elle s'est fait un nom sur la nouvelle scène musicale, confirmé récemment par une création émouvante et sensible du concerto pour alto « Evasion » de Heidi Baader-Nobs. Née en Angleterre dans une famille de musiciens, elle a étudié la musicologie et le français au Jesus College de Cambridge, puis l'alto à la Guildhall School de Londres et à la Musik Akademie de Bâle.

Elle est membre du Quatuor Streiff et était auparavant altiste de l'Ensemble Antipodes (Prix Migros de musique de chambre et ISCM Ensemble laureate 2005). Ses concerts et ses enregistrements la mènent dans toute l'Europe : en 2016, à l'instigation de Zuzana Růžičková, elle a enregistré pour la première fois la sonate pour alto de Viktor Kalabis ; en 2020 sortira le deuxième CD de quatuors à cordes de Heidi Baader-Nobs, après que le premier ait été encensé par la critique à « musique suisse ». Le premier enregistrement des quatuors à cordes de Klaus Huber a reçu le « coup de cœur » de diapason en 2017.

Mariana vit à Bâle avec son mari et ses deux enfants - qui ont entre-temps quitté le pays. Née en Cornouailles, elle aime aujourd'hui se baigner quotidiennement dans le Rhin.

Passionné par la musique de chambre dès le plus jeune âge, c'est tout naturellement que Sébastien Singer est devenu le violoncelliste du Swiss Piano Trio en 2000. Dès lors, il a participé à l’essor artistique de l’ensemble avec lequel il a successivement remporté le 1er Prix du Concours International de Caltanissetta (I), le 1er Prix du Concours International Brahms (A) et le très convoité Swiss Ambassador's Award.

Après seize ans d’une carrière internationale à travers plus de cinquante pays sur tous les continents, de nombreuses parutions discographiques et des centaines de concerts dans des salles telles que le Wigmore Hall de Londres, la Tonhalle de Zurich, le Victoria Hall de Genève, le Concert Gebouw d’Amsterdam, la grande salle du Conservatoire Tchaïkovski de Moscou et beaucoup d’autres, Sébastien Singer a choisi de mettre un terme à ses activités au sein du Swiss Piano Trio en 2016.

Avec le magnifique musicien et guitariste virtuose André Fischer – ami et complice de tous les instants avec qui il joue en duo depuis l’adolescence – Sébastien Singer développe continuellement le répertoire d’œuvres originales, d’adaptations et de transcriptions pour guitare et violoncelle. 

Avec un catalogue d'œuvres allant de Bach aux contemporains, le duo singer & fischer appartient aujourd’hui aux ensembles incontournables du genre (www.singerfischer.ch).

Parmi les autres personnalités musicales auxquelles le lie une complicité qui dépasse le cadre de l’interprétation, la pianiste Brigitte Meyer, l’organiste Guy Bovet ou encore le violoniste Daniel Zisman sont à citer. Parallèlement à ces collaborations régulières, Sébastien Singer a joué avec le violoniste Pierre Amoyal, les altiste Paul Neubauer et Steven Dann, le clarinettiste James Campbell, les pianistes Paul Coker, Marc Pantillon, Gerardo Vila et bien d’autres musiciens hors du commun.

Persuadé que tout musicien digne de ce nom doit s'intéresser à la musique contemporaine, Sébastien Singer joue au sein du Streiff Quartet depuis 2021. Auparavant, il a occupé le poste de violoncelliste solo au sein du Nouvel Ensemble Contemporain de la Chaux-de-Fonds pendant une dizaine d'années. Dans ce cadre, il a participé à la création de nombreuses œuvres et a travaillé étroitement avec des compositeurs comme G. Aperghis, F. Hoch, J. Levine, M. Wettstein, J. Wildberger, J. Wyttenbach, etc.

Sébastien Singer a enregistré pour les labels SwissPan, Audite, Claves, Acanthus Music, Grammont et Stradivarius ainsi que pour Espace 2, DRS 2, RTSI, ORF, Vietnam National TV, Australia ABC, Radio Television Hongkong, Venezuela State TV, CBC Canada, etc.

Musicien né à Genève, Christophe STURZENEGGER est titulaire de plusieurs Prix de conservatoires supérieurs (Cor, Piano, Solfège, Harmonie).

En tant que CORNISTE, il a été membre du GUSTAV MAHLER JUGENG ORCHESTER et a travaillé durant 4 années en orchestre (Opéra de Zürich – académie- et Orchestre symphonique de Bâle) avant de se lancer dans une carrière de freelance et chambriste (Geneva Brass Quintet, notamment).

Il a ainsi cotoyé les plus grands chefs (Abbado, Levine, Santi, Marriner, von Dohnanyi, Ashkenazy,…) et joué en soliste sous la baguette d’Emmanuel Krivine et de Marc Kissoczy, entre autres.

2ème prix au concours de Riddes (CNEM), demi-finaliste au Concours International de Trévoux (France), il est aussi lauréat de la Bourse Migros (Ernst Göhner) et du Prix Kiefer-Hablitzel de l’Association suisse des musiciens.

En tant que PIANISTE, il a étudié avec Elisabeth Athanassova et Marc Pantillon et a reçu les encouragements de grands pédagogues comme Sebok, Badura-Skoda ou encore Starkmann.

Lauréat de plusieurs concours (Friedl Wald, Dénéréaz) et des prix Neumann et Dumont, il a aussi été primé avec le Trio Fortunate au concours Whittaker.

Professeur de piano complémentaire et harmonie au clavier à la Haute Ecole de Musique de Genève depuis 2003, il se produit régulièrement en soliste avec orchestre, en récital et en musique de chambre (notamment le Duo Sforzando, avec lequel il a sorti deux disques : le premier en 2004 chez Vde-Gallo, le second, en 2007, chez Media Sound Art).

En tant que COMPOSITEUR, Christophe STURZENEGGER est édité chez Woodbrass-music et Klarthe, et compte une trentaine d’œuvres à son catalogue dont diverses commandes (notamment pour des orchestres comme l’OCG, l’OSR, L’orchestre de Normandie, L’ensemble symphonique de Neuchâtel, et pour des solistes et des concours internationaux).

Christophe STURZENEGGER s’est déjà produit dans de nombreux festivals en Europe, au Canada, à Oman, en Colombie en Afrique du Sud et au Japon (Salzburg, Verbier, Paléo, Istanbul, Londres, Budapest, Tokyo et Aix-en-Provence,…) et fait de fréquentes apparitions à la radio (concerts, émissions, tables rondes,…). Enfin, il collabore régulièrement avec l’Orchestre de la Suisse Romande, l’Orchestre de chambre de Lausanne, et d’autres orchestres suisses, et est directeur du Geneva Brass Festival depuis 2010.

En tant que chef d’orchestre, on a pu le voir sur les tournées de la Reine des Neiges, de l’Opéra de 4 sous et de l’Histoire du Soldat, en Europe, Egypte et aux USA.